L’excellente situation financière du Canton, due à une économie florissante ainsi qu’aux efforts du PLR et de notre Conseillère d’État en charge des finances pour défendre des conditions cadres attractives, sont à saluer.
Le PLR souligne par ailleurs que les votations du mois de novembre sont essentielles à l’amélioration de ces conditions cadres qui permettent au Canton de conserver sa prospérité. Les précédentes baisses d’impôts ont engendré des hausses de recettes fiscales et aucune baisse de prestations.
Les charges de l’État ont progressé de 81% entre 1998 et 2023, soit près de 3x plus que la population. En 2010 sont entrées en vigueur les baisses votées par le peuple en 2009 avec une perte initiale estimée de 400 millions. Les recettes fiscales ont finalement augmenté annuellement de 4% en moyenne entre 2010 et 2023 pour 1% de hausse moyenne de la population. En 2019, le peuple avait voté la fameuse baisse d’impôts pour les entreprises RFFA. Pour cette dernière, le coût initial était estimé à 186 millions et la baisse d’impôts a rapporté plusieurs milliards de recette fiscales supplémentaires dans les années qui ont suivi.
Les charges principales d’un ménage genevois sont les loyers, les primes d’assurance maladie et les impôts. Il existe déjà d’importantes aides et subventions pour le logement et les primes d’assurance maladie. La votation du 24 novembre permet d’agir sur le troisième point pour rendre du pouvoir d’achat aux Genevoises et Genevois.
Il est piquant de noter que le parti socialiste crie au loup alors que les revenus prévus sont les plus élevés jamais inscrit dans un budget, que les dernières baisses d’impôts ont engendré des augmentations de revenus et que les revenus prévus augmentent plus que la population.
Le parti socialiste cherche sans doute une excuse pour sa prochaine déroute du 24 novembre.
Le PLR appelle par ailleurs toujours de ses vœux une politique budgétaire qui n’abuse pas des moyens mais se focalise sur les priorités fixées par l’ensemble du Conseil d’État.